The french mainstream media ignored the last visit in Paris of the leftist Ecuadorian President Rafael Correa. It's however this small country of Latin America, Equator, that serves as a model for Greek activists who are taking part in Syriza party or for non-orthodox economists from the spanish movement Podemos in order to solve the issue concerning the public debt. The Correa government declared a part of this debt « illegitimate » to implement public investment, and social inequalities reduction policies.

Les grands médias français ont boudé le dernier séjour à Paris du président de gauche équatorien Rafael Correa. C’est pourtant ce petit pays d’Amérique latine, l’Equateur, qui sert de modèle aux militants grecs de Syriza ou aux économistes non-orthodoxes du mouvement espagnol Podemos pour régler le problème de la dette publique. Le gouvernement Correa a déclaré « illégitime » une partie de cette dette pour mener des politiques d’investissement public et de réduction de la pauvreté et des inégalités sociales.