This plodding piece of cinematic ambiguity finds a married couple engaged in boring conversation in a window as scenery changes behind them. When they manage to talk about love, some of the tedium is lifted in the wake of their amorous verbiage. This black and white effort from Jean Pierre Lefebvre depends on symbolic impressionism rather than plot.

«L'homme et la femme, l'été et l'hiver, le jour et la nuit, le nord et le sud, le noir et le blanc: tels sont les parallèles entre lesquels se joue le destin de l'être humain et tel est le sujet de La Chambre blanche. Ne sachant quelle sera notre mort réelle, nous imaginons plusieurs vies et vivons des morts multiples.»