Le corps de Sara Damiano, une lycéenne de 15 ans, est retrouvé dans le sous-sol inondé d'un squat sordide de Turin après quinze jours de recherches. Jeune capitaine à la brigade criminelle de la ville, aussi douée que tourmentée, Valeria Ferro prend les rênes de l'enquête.

Finalement convoqué, Giancarlo, exaspéré par les questions brutales de l'inspecteur qui l'interroge, se laisse aller à des actes de violence. Valeria obtient néanmoins qu'on le laisse repartir chez lui. Peu après, avec Matteo, son second, elle découvre l'interview donnée par le petit frère de Sara et une de ses camarades à une chaîne de télé. La fillette, visiblement aux anges, a les lèvres peintes d'un rouge à lèvres de luxe qui a appartenu à Sara. Pour Valeria, il s'agit d'un indice capital...

Valeria est convoquée par sa hiérarchie après la plainte déposée par les Mantovani.

Elle poursuit néanmoins ses investigations et multiplie les découvertes. En plus de sa femme et de ses trois enfants, Guglielmo a couché sur son testament un cinquième héritier... Le meurtrier est finalement arrêté. Il s’agit bien du cambrioleur de la villa, mais il semble avoir agi avec l’aide d’un membre de la famille. Parallèlement, lorsqu’elle apprend le retour imminent de sa mère, Lucia, Valeria fait ses valises et se réfugie chez Giorgio Lombardi. En plus d’être son patron et amant, ce policier a également arrêté sa mère dix-sept ans plus tôt

Graziano Torri, un tatoueur de renom, revient d’un jogging et appelle la police : son épouse Alessandra, qui venait de lui révéler qu’elle était enceinte, a disparu.

La brigade découvre rapidement que le tatoueur, particulièrement volage, est accusé par la rumeur d'avoir épousé la jeune femme pour l’argent de son père. Mais il n'est pas le seul à avoir un mobile : le père d'une adolescente, devenue autiste à la suite d'un accident provoqué par Alessandra, avait également des raisons de lui nuire.

Valeria a suivi les conseils de son patron et amant Giorgio Lombardi, chez qui elle s'était installée, et a regagné le manoir familial.

Mais toujours incapable de surmonter le passé, elle se montre de plus en plus hostile envers sa mère. En réécoutant un enregistrement sonore, elle s'aperçoit qu’Alessandra a elle-même ouvert la porte à son meurtrier.

Au lendemain du carnaval, le cadavre d'une novice bénédictine de 22 ans, Stefania, est retrouvé en tenue de soirée sur les rives du Pô. À proximité, Valeria découvre la jeune survivante d'une overdose, Sonia, qui a peut-être vu l'assassin.

Michele Gervasini finit par avouer que son alibi a été créé de toutes pièces par sa mère. Il est disculpé peu après par le test ADN auquel il accepte de se soumettre. L’enquête se resserre alors sur la discothèque que fréquentait Stefania. En parallèle, Valeria tente de retrouver la piste de sa mère…

Valeria enquête sur la tentative d'assassinat d’une jeune Égyptienne musulmane, Amina, qui a été poignardée. Se comportant comme une Occidentale, celle-ci est mal vue par la communauté musulmane du quartier, ce qui rejaillit sur toute sa famille, notamment sur sa sœur dont le mariage a été annulé à cause de cette mauvaise réputation.

Le lendemain de l'arrestation de son frère, Amina est retrouvée morte juste après s’être disputée avec sa sœur, que tout accuse. Mais si elle avoue être responsable du premier crime, la jeune femme nie être impliquée dans le second...

Valeria doit résoudre une affaire délicate : la mort d'une fillette, étouffée dans la voiture familiale, garée sur un parking alors que sa mère était partie chercher son frère au club de tennis. Tous les indices accusent cette dernière : elle semble fragile et traverse une période compliquée avec son mari, qui la trompe.

Son obstination conduit Valeria sur la trace d’un suspect : le père d'une gamine disparue au même endroit plusieurs années auparavant, qui aurait kidnappé d'autres enfants dans l'indifférence générale.