Hélène Hartmann, célèbre commissaire-priseur, vient d'être assassinée, et sept statuettes de grande valeur ont été dérobées. La police s'interroge : la liste des suspects est longue. En effet, le fils d'Hartmann, toujours à court d'argent, pourrait bien avoir décidé de voler sa mère, voire de l'éliminer si elle s'était un jour ou l'autre dressée sur sa route. Un assureur ruiné après une vente menée par cette femme aurait pu également vouloir se venger. La solution pourrait bien venir de Louis, son époux, grand expert en art, présent lors du crime. Mais souffrant de la maladie d'Alzheimer, il ne se souvient plus de rien...

Un homme de 80 ans est retrouvé mort, assassiné, dans un passage souterrain de la gare de l'Est. A l'Institut médico-légal, on découvre que la victime s'était fait tatouer une croix gammée et que les doigts de sa main droite ont été coupés. Un SDF squattant le passage est arrêté. Il est en possession d'un million de francs et de l'arme qui a servi au crime. Mais très vite, Vallon et ses hommes s'orientent vers la thèse de la vengeance. On interroge Georges Bouvier, ancien résistant, président de l'association Fer-Alsace. Son fils, écrivain et historien de cette époque, est également entendu à titre d'expert...

Une fois n'est pas coutume, la brigade laisse de côté ses sordides affaires d'assassinat pour s'occuper d'une disparition : en effet, un homme, inquiet de ne pas avoir de nouvelles de sa fille, a déposé plainte contre son gendre, Christian Vernet. Celui-ci traîne une méchante réputation de mari tyrannique, violent à l'occasion, voire cruel aux dires de certains. Les agents de la brigade découvrent des traces de sang à son domicile. Bientôt, les soupçons s'accumulent : son mépris pour sa femme, la faiblesse de son alibi et son comportement éveillent la méfiance. Mais si les choses étaient plus compliquées que ça ?...

Une femme policier a été retrouvée morte au bas d'un bâtiment, visiblement défenestrée. Les agents de la brigade sont contraints de mener leur enquête auprès des collègues de la défunte. Tout leur tact est requis : il s'agit en effet d'éviter de provoquer une guerre des polices. Très vite, les agents s'intéressent à un étrange personnage, qui passait ses journées à observer l'appartement de la victime au moyen d'une longue-vue. Se pourrait-il qu'il ait été témoin de la scène ? L'enquête se révèle plus compliquée qu'elle n'en avait l'air de prime abord...

L'ambiance est plutôt tendue au sein de la brigade criminelle. En effet, la femme du médecin légiste a été retrouvée morte, étranglée dans sa baignoire. Une rapide enquête révèle que la victime collectionnait les amants. Dans la mesure où le médecin légiste était dans les locaux de la brigade au moment des faits, son alibi ne fait aucun doute. Bientôt, les soupçons se portent sur les deux partenaires réguliers de la victime : un collègue de son mari et un entrepreneur de pompes funèbres. Tous deux avaient de bonnes raisons de vouloir la supprimer...

Une diva est retrouvée morte, assassinée sur scène. En premier lieu, les hommes de la brigade soupçonnent son mari, un directeur de théâtre fortement endetté qui, après cette disparition providentielle, peut espérer toucher une coquette somme au titre de l'assurance vie contractée par la victime. Son ex-femme, jalouse de son ancienne élève qui lui a volé son mari, figure également au rang des assassins potentiels. Mais faute de preuves, l'enquête piétine. L'un et l'autre sont tout de même placés en garde à vue. Puis, au fil des investigations, un troisième suspect se dessine : le pianiste...

Dans un immeuble de Belleville, Victoire, une femme noire, a été assassinée suivant une mise en scène sinistre. La police pense immédiatement à un rite vaudou. La victime était riche et pour cause : en cheville avec un promoteur immobilier, elle parvenait à faire fuir les habitants de l'immeuble et leur rachetait pour une bouchée de pain leurs appartements, qu'elle revendait ensuite à prix d'or. De ce fait, les suspects pourraient être nombreux du côté des anciens propriétaires floués par la femme d'affaires indélicate. La police marche sur des œufs : l'ambiance qui baigne cette enquête n'est pas des plus rassurantes. S'agit-il d'une vengeance ou plus simplement d'un vol ?...

Une voiture amenée à la fourrière n'est pas réclamée par son propriétaire, fait étrange en soi. En examinant l'automobile de plus près, il s'avère que cet abandon n'est guère étonnant : dans le coffre du véhicule se trouve un cadavre de femme. La victime a été tuée à l'arme blanche, neuf coups de couteau mutilent son corps. La défunte, une certaine Laurence, était vendeuse sur les marchés...

Au lever du jour, un homme est retrouvé mort, noyé dans les trente centimètres d'eau du bassin central du jardin du Luxembourg. Une rapide enquête ne révèle aucune trace de coups. La victime se prénomme Sylvain et était le fils sans histoire d'un grand ponte de la médecine, marié depuis moins d'un an et jouissant d'une situation professionnelle et sociale plus qu'honorable. Les enquêteurs sont perplexes. Aucun indice ne permet de conclure à un meurtre. Pourtant, Sylvain, qui préparait le concours de réaménagement des espaces floraux organisé par la Ville de Paris, n'avait a priori aucune raison de mettre fin à ses jours. L'enquête se révèle, de ce fait, plus complexe que prévu...

La brigade est appelée dans un quartier plutôt chic, dans un appartement situé au-dessus d'un restaurant renommé. Un adolescent de 15 ans gît par terre, tué d'une balle dans la tête. A quelques pas de là, sa mère, enchaînée à un radiateur, doit supporter cette vision d'horreur. Le logement a été mis sens dessus dessous. La femme affirme qu'un homme masqué a fait irruption dans l'appartement et a menacé de la violer. Voulant intervenir, son fils a été froidement abattu par l'intrus. Les enquêteurs s'interrogent sur les raisons d'un tel drame et tentent d'en savoir plus sur les habitudes des deux victimes...

Abdel Chaouaf, directeur d'un hammam de quartier, gît sur le sol de mosaïque, au milieu de la vapeur. Le thermostat a été poussé à son maximum. Vengeance, cupidité, règlement de comptes : les hypothèses sont nombreuses. Deux employés, Bachir et Soraya, frère et soeur, secondaient Abdel. Le premier intervenait le jour des hommes, la seconde le jour des femmes. Les soupçons se portent bientôt sur les deux jeunes gens. Ils ont en effet disparu, sans aucune explication. Les enquêteurs tentent de retrouver les deux principaux suspects, en espérant qu'ils n'ont pas eux-mêmes été victimes du meurtrier d'Abdel. Les habitants du quartier ne parlent pas facilement, ce qui n'est pas pour simplifier les choses...