Le Pr Waldhof, une sommité en biochimie, trouve sa femme assassinée en rentrant chez lui. Des objets de valeur ont disparu, mais de toute évidence, Mme Waldhof connaissait son agresseur

Le meurtre d'une jeune fille jette des

soupçons sur tous ses amis, en particulier

son ami d'enfance, Bruno. L'enquête

démontre qu'il n'acceptait pas la relation

amoureuse de celle-ci.

Après avoir passé huit ans en prison, Schubach est sur le point d'être mis en liberté conditionnelle, au grand désespoir de son ancien avocat, le Dr. Homann. Ce dernier sait que Schubach lui en veut à mort. Mais lorsqu'il demande de l'aide à l'inspecteur Derrick, les évènements prennent une tournure des plus inattendues.

Une légère odeur d'amande embaume la chambre de la vieille dame qui vient de

mourir. Inquiet, le médecin décide de prévenir la police. L'inspecteur Derrick

découvre une tasse de thé plus que douteuse et un crime des plus ignobles.

La bonne qui a découvert le corps de sa

patronne assassinée est encore sous le

choc quand la police arrive. Seul indice : un

bouquet de fleurs posé sur la table que

l'employée est certaine de ne pas avoir vu

la veille.

Interrogé par Derrick sur la mort de son ex-femme,

M. Horn révèle qu'ils s'étaient

violemment disputés à propos de leur fille.

Peu après cette querelle, il l'a trouvée morte.

Pour l'inspecteur, tous les indices sont

contre lui. Le seul témoin est sa belle-sœur,

qui s'avère être sourde et muette.

Derrick enquête sur les circonstances d'un

accident de moto. Tout porte à croire qu'il s'agit en fait d'un attentat.

Un gardien de nuit d'un laboratoire scientifique

est poignardé. Derrick met en relation cette affaire avec un autre meurtre non

élucidé commis lors d'un congrès à Berlin.

Enfin réfugié en vacances, l'Inspecteur Derrick se retrouve encore mêlé à un meurtre impliquant des autres vacanciers avec lesquels il venait juste de sympathiser...

La police est informée de la disparition d'un éminent homme d'affaires. Mais la victime ne réapparaît pas après le versement de la rançon. Derrick se charge de l'affaire.

Il ne fait aucun doute que les coups de feu dirigés vers Arthur T. étaient prémédités et visaient à le tuer. La fille qui était en sa compagnie était-elle au courant du complot ? Sa disparition après les coups de feu fait d'elle une complice évidente, mais lorsqu'elle se manifeste brusquement, l'inspecteur Derrick réalise que le cas n'est pas aussi simple qu'il ne paraît

Le coup de feu qui a blessé Agnes D. alors qu'elle fermait une fenêtre a été tiré trop tard... trop tard pour tuer. Les investigations de Derrick ne mènent nulle part... Jusqu'à ce qu'il apprenne incidemment qu'Agnès D. s'était liée d'amitié avec un jeune homme très attentionné rencontré à l'hôpital...