Six élèves de l'enseignement secondaire se rendent ensemble dans une maison de tolérance. Leur ami Horst Wiegand doit enfin avoir sa «première expérience». Ils se rendent ensuite chez Albert Krumme, le meneur de leur groupe, pour prendre un verre. Dans un surcroît d'exubérance, celui-ci téléphone à Inge Waldstein, une de leurs camarades de classe, qui s'est entichée de lui. Krumme se vante de leur aventure dans la maison de tolérance. Inge se montre consternée. Peu après, la sonnerie de la porte d'entrée retentit et des coups de feu tombent au moment où Krumme ouvre celle-ci. Avant de mourir sous les yeux de ses camarades, il a encore la force de dire : «Je n'aurais jamais cru, c'est vraiment dingue.» Ses amis ne sont pas les seuls à s'interroger sur la signification de ses dernières paroles...

Hans et Luis Röder tiennent une boîte de nuit et partagent une maison. Un matin, leur père découvre le corps de leur femme de ménage, Ilse Lohmann, étranglée dans l'appartement qu'elle occupait au sous-sol. Outre les marques de strangulation, la jeune femme porte aussi des traces de sévices plus anciens...

En dépit des mises en garde, Inge Sanders choisit de traverser le parc pour rentrer chez elle. Après la fermeture du magasin (la jeune femme travaille dans un pressing), elle est allée chez son amie et collègue Monika Wagner. Le frère de Monika, Ulrich, voulait la raccompagner, mais il avait du retard. Inge finit par rentrer seule. C'est alors qu'elle croise son meurtrier dans le parc. A proximité du lieu du crime, l'inspecteur Klein trouve un baladeur. Aurait-il été perdu par l'assassin lors de son agression ? L'inspecteur principal Derrick entrevoit soudainement une possibilité de retrouver le coupable grâce à la cassette découverte dans le baladeur...

Un ancien mannequin qui sort d'une cure

de désintoxication se voit rejeté par son

ancien amant. Celui-ci meurt peu de temps

après...

Comme bon nombre de ses compatriotes italiens, le propriétaire du restaurant Scarletti est soumis au chantage de la mafia. Lorsqu'un homme se présente à nouveau chez lui pour encaisser le prix de la protection, Martha, l'épouse allemande de Scarletti, le met à la porte du restaurant sans autre forme de procès et sans payer ne serait-ce qu'un centime. Cet incident est à l'origine de quelques remous dans la presse munichoise. L'inspecteur principal Derrick entend lui aussi parler de cet incident inhabituel par la bouche de son collègue Martin Howald du commissariat chargé du crime organisé. Les deux craignent à présent que le restaurateur italien ne soit en danger de mort. Grâce à une information venue de Rome, Derrick et Howald apprennent qu'un dénommé Andreas Heine serait en route pour Munich. Sans doute un émissaire de la mafia. Scarletti est abattu, peu de temps après son arrivée. Heine est-il l'assassin ?

En rentrant chez elle, Hilde Lussek découvre son compagnon mort dans son lit. La jeune fille est effondrée. Elle était vraiment très amoureuse de lui... La mère de Hilde arrive sur les lieux et lui demande si Walter avait prévu de la coucher sur un testament. Si non, toute la fortune du défunt irait à ses héritiers directs : son frère et son neveu. Dans le coffre de l'appartement, les deux femmes découvrent une petite bourse noire remplie de magnifiques pierres précieuses... Un peu plus tard, le médecin constate que Walter n'est pas mort d'une crise cardiaque. Il a été étouffé par un coussin

La mystérieuse locataire annoncée comme disparue par sa logeuse, est retrouvée morte à la gare de marchandises, à côté des rails. Est-ce un accident ou un meurtre ?

Sabine Kronau n'était pas préparée à l'annonce du décès de son frère et de son père. La jeune femme qui suit les cours d'une école hôtelière située sur le bord du lac de Tegern apprend que son frère Achim, étudiant à Munich, a été tué par balle. Lieu du crime : un passage souterrain. Son père s'est alors suicidé dans sa maison. Comment ces deux effroyables tragédies ont elles pu se produire ? Hier encore, à 9 heures du soir, Sabine téléphonait à son père. Il venait juste de se disputer avec Achim. Selon Sabine, ces disputes auraient été fréquentes. Interrogée par Derrick sur les raisons de ces confrontations, elle explique simplement qu'ils avaient une conception différente de la vie, leur nature étant en parfaite contradiction.

L'inspecteur Klein raccroche son téléphone. Le caissier d'un cinéma a été tué par balle... Et ce, pendant la séance de nuit d'un film policier, comme le constatent Derrick et Klein, peu de temps après l'appel téléphonique, en visitant le lieu du crime. Comme chaque séance de nuit, le caissier aurait pris place sur son fauteuil habituel parmi le public et le meurtrier aurait été assis à côté de lui. Car les deux balles ont touché la victime à bout pourtant. Le meurtrier a profité du bruit des coups de feu du film pour perpétrer son propre crime. Aussi, personne ne peut avoir remarqué immédiatement l'incident. Et dans la panique générale qui s'ensuivit, le coupable a pu s'enfuir.

Lorsque la police est obligée d'enfoncer une porte d'appartement, elle découvre la propriétaire morte dans un fauteuil. Elle a probablement été tuée par balle. Gerrit Hauser, l'amie de la victime Ilona Keller, survient pendant que Derrick se trouve sur le lieu du crime à la recherche d'indices. Etant donné que les deux femmes travaillaient comme hôtesses, le cercle de leur connaissances est logiquement assez étendu. Il se trouve que Gerrit sait qu'Ilona a amené l'un de ses invités dans son appartement quatre jours auparavant. Grâce au portier de l'hôtel, Arnold Stemmer, il est possible d'identifier cette personne. Mais était-ce le dernier invité d'Ilona ?

Helene Soost fait une bien macabre découverte en montant les escaliers de son immeuble. Une jeune fille, qui venait une fois par semaine donner des cours d'anglais à un étudiant, a été violée puis tuée.