Le cadavre de l'épouse du professeur Keilmann, un éminent chimiste, est retrouvé dans leur villa, dans un état de décomposition avancé. La mort de madame Keilmann remonte en effet à une semaine et le corps est dans un tel état que l'autopsie paraît impossible. La police découvre assez vite que le professeur entretient une liaison avec une de ses collaboratrices, Karin Birger.

Le policier Herbert Seidel se dispute avec son épouse Laura. Il lui annonce son intention de divorcer pour se marier avec Eve, la soeur de sa femme. Peu après, le commissariat reçoit un appel au secours qui émane de la maison des Seidel. Lorsqu'ils arrivent sur place, les enquêteurs trouvent le corps sans vie de Laura, Herbert est prêt d'elle, blessé à la tête.

Rödel, un indicateur, qui avait infiltré une bande de malfrats impliqués dans des vols de cartes bancaires, a été assassiné. Fanny, une prostituée complice de la bande, dérobe les cartes à des clients adeptes de plaisirs particuliers. Mais un jour, un de ces clients décède

Ralph Schenk et Hilmar Koppe attaquent une banque. Devant les yeux de l'employée du guichet, ils tirent sur le directeur de la filiale et le blessent grièvement. Puis ils disparaissent sans être inquiétés. Le commissaire Hölzermann veut résoudre l'affaire le plus vite possible, avant que son chef Joe Hoffer ne sorte de l'hôpital. Les deux médecins légistes, les docteurs Kolmaar et Sommer, ne peuvent être que gênants.

Susanne Wade s'est apparemment pendue après une violente scène de ménage. Son mari, qui était ivre, ne se souvient de rien mais accuse un ami de la famille : le journaliste Franz Josef Zeuner. De fait, la police trouve de nombreuses empreintes lui appartenant sur le lieu du drame.

Dans une station de métro berlinoise bondée. Deux personnes s'effondrent subitement, et pratiquement en même temps. Si la cause du décès paraît claire – un empoisonnement –, il semble a priori impossible d'établir un lien entre les deux défunts. La première victime, un brillant architecte, était en conflit avec son ex-femme, qui l'empêchait de voir ses enfants. La seconde était une femme au foyer sans histoire