Le père Dowling et la sœur Steve sont pris en charge par un faux prêtre. Il s’avère que "Père" Damon est en fait un tueur à gages envoyé pour tuer le chef de gang vieillissant, Victor Malko. Le père Dowling essaie d’avertir Malko, mais il ne prendra pas les avertissements de Dowling au sérieux. Et maintenant, la vie du vrai Père pourrait être en danger.

La sœur, le père et un frère se retrouvent dans une situation de vie ou de mort lorsque le frère cadet de la sœur Steve, Mark, se retrouve au milieu d’une bataille de gangs de rue. Quelqu’un finit mort et Mark est accusé de meurtre. Il pointe du doigt le vrai tueur, le capitaine de police Edward Hayton, puis se retrouve candidat principal dans le rôle de la prochaine victime potentielle. Le père Dowling jette son chapeau sur le ring et trouve une affaire qui implique non seulement le meurtre, mais aussi le trafic de pierres précieuses.

Quelqu’un utilise le Père Dowling pour s’entraîner et le tireur semble être un ex-détenu en colère que le Père a envoyé à River pour meurtre. Une protection policière complète est offerte, mais comment pouvez-vous diriger une paroisse avec tous ces hommes en bleu qui traînent? Encore moins participer à une course de charité.

Le père Dowling sert-il un ragoût de luxure, de vol et de meurtre ? Non, c’est l’œuvre de son frère jumeau maléfique, Blaine, qui essaie d’attirer des matrones solitaires dans un plan d’investissement bidon. Le père Dowling est forcé de se faire passer pour le méchant frère dans un ultime effort pour prouver son innocence et accuser le vrai tueur de la femme.

Le père Dowling est plus qu’un peu sceptique quand une jeune femme insiste pour dire que sa maison est hantée. Il accepte d’enquêter tout de même après que Soeur Steve avoue qu’elle a également vu certains des "événements inexpliqués." Le père Dowling conclut que quelque chose ne va pas, mais est-ce l’œuvre d’une personne ou d’un esprit ?

Soeur Steve a toujours été une âme confiante. Cela fait partie de son travail, bien sûr. Il n’est donc pas surprenant qu’elle ouvre son cœur à un aveugle qui semble avoir besoin d’aide. Mais elle découvre bientôt qu’elle est devenue une complice involontaire dans un stratagème pour faire chanter un éminent paroissien.

Un "ange" rend visite au père Dowling et à sœur Steve à la paroisse et donne un avertissement sévère que de gros problèmes se cachent juste au coin de la rue. L’un des paroissiens est sur le point d’être "accusé" du "crime" de culpabilité par association quand il est révélé que son défunt père était lié au monde souterrain.

Parlons de l’autorisation de sécurité. Le Père Dowling et Sœur Steve se retrouvent au beau milieu d’une enquête de sécurité top secrète quand l’un des paroissiens est soupçonné de voler des documents confidentiels. L’affaire tourne autour d’un espion qui n’est pas vraiment un espion, une maîtresse qui n’a jamais été et un mari infidèle qui ne l’a pas été. Ajoutez à cela un quartier général du FBI qui n’a jamais existé et vous avez une affaire aussi claire que Irish Stew.

Un flim flam con-man a l’œil sur un précieux réceptacle d’église que le père Prestwick emmène en Roumanie. Il ne reculera devant rien pour mettre la main sur l’ostensoir, même s’il doit incommoder définitivement le Père Prestwick. C’est au Père Dowling et à Sœur Steve de mettre un terme à l’arnaque.

Sœur Steve sait qu’il ne faut pas avoir l’air d’un cadeau, mais pourquoi la nommer administratrice d’un fonds de fiducie de six millions de dollars ? Et si vous pensez qu’elle est perplexe, la famille des défunts est juste un peu bouleversée elle-même. En fait, ils sont prêts à faire n’importe quoi pour garder sœur Steve loin du fonds. Et juste pour montrer qu’ils sont sérieux, ils ont enlevé la fidèle gouvernante du père Dowling. Ils ont proposé de la laisser partir, dès que quelqu’un crachera seulement six millions de dollars.

Le père Dowling a toujours aimé les beaux-arts, mais quelqu’un va trop loin dans son rôle de critique d’art indépendant. Un voleur mystérieux vole méthodiquement les trésors d’art qui appartenaient autrefois à la riche famille Cabot. Et le père Dowling a l’impression que le voleur pourrait être le fils survivant, Jonathan. La seule question est pourquoi un riche homme d’affaires prendrait le risque de voler les peintures alors qu’il pourrait facilement se permettre de les acheter directement? Et Cabot a des alibis parfaits pour chaque vol. On dirait qu’il est temps pour le père Dowling de creuser à l’ancienne pour trouver des indices.

Souffrir pour son art est une chose, mais le talent de cet artiste capricieux pourrait bientôt être caché sous une triste dépendance à la drogue et à l’alcool. Et ce n’est que le début de ses problèmes. Il vient de découvrir que quelqu’un essaie également de le tuer.