S'il fait l'unanimité dans les sondages, le dirigeable d'Arthur, dont l'inauguration est prévue pour l'après-midi, n'est pas complètement finalisé.

Croyant qu'il existe des problèmes financiers au palais, les enfants organisent une vente aux enchères. Mais en recherchant des objets à vendre, ils prennent par erreur la lampe préférée de Rataxès.

Bien décidé à gagner la course de caisses à savon, Victor emprunte les plans secrets de Pomme et de Flore. Mais lorsqu'Alexandre est accusé, Victor se demande si la victoire est tout ce qui compte...

Lorsque Basil sauve Isabelle de la noyade, Rataxès s'empresse de s'en attribuer le mérite. Il est aussitôt considéré comme un héros.

Lorsque Pomme entre dans l'équipe de basket, elle fait croire à Babar qu'elle en est la joueuse vedette. Mais, lorsque celui-ci lui fait part de son souhait d'assister à un match pour la voir à l'oeuvre, elle est très embêtée...

Flore, la partenaire de Babar, est bien maladroite et le rêve de l'éléphant de remporter le concours de pêche a bien peu de chance de se réaliser.

Arthur monte un canular faisant croire à tout le monde que les Martiens débarquent. Mais la plaisanterie se retourne contre lui lorsqu'il aperçoit un véritable ovni.

Comélius et Pompadour ont une terrible dispute et jurent de ne plus s'adresser la parole. Cependant, ils sont loin de se douter des répercussions de leur silence.

Babar emmène sa famille à la montagne. Mais ce que Babar recherche vraiment, c'est la créature mythique qu'il a vue lorsqu'il était enfant.

Babar accepte d'escorter à Paris une vieille dame qui voyage avec une mallette renfermant des documents top secret. Mais le voyage paisible se complique.

Arthur construit un robot. Malgré tous ses efforts, la machine refuse de fonctionner selon le prototype établi. Arthur refuse de l'admettre et cherche à dissimuler les faits. La situation dégénère très vite...

Babar recommande à Flore de toujours dire la vérité. Lorsque la petite fille applique cette consigne à la lettre et sans discernement, Babar regrette de n'avoir pas nuancé ses propos en évoquant des cas où la vérité peut blesser...