Jacques Villeret (6 February 1951 – 28 January 2005) was a French actor, best known internationally for his role as François Pignon in the comedy Le Dîner de Cons. During his career, he earned many awards including the prestigious medal and title of Chevalier de la Légion d'Honneur.

Villeret was born Jacky Boufroura in Loches, Indre-et-Loire, France, to an Algerian father and a French mother. He studied at the Conservatoire de Paris (CNSAD) in the same class as Louis Seigner, the grandfather of Emmanuelle Seigner and Mathilde Seigner. While he was most famous for his role as François Pignon in Le Dîner de Cons; both on the stage and in the film, his other celebrated roles included the extra terrestrial in La soupe aux choux, the autistic Mo in L'été en pente douce, and marshal Ludwig von Apfelstrudel in Papy fait de la résistance.

At the time of making the film Un aller simple directed by Laurent Heynemann – a film about integration and racism and the clash of generations – he said that watching the young actors in the film, Barbara Schulz and Lorant Deutsch, reminded him of the insouciance he had had as a young man with his friends at the Conservatoire.

When his career was at its height, with the success of Le Dîner de Cons, everything collapsed in a tragedy mirroring the plot of the film. Villeret separated from his wife and suffered an enormous financial downfall due to tax issues, plunging him into depression. Villeret turned to alcohol for comfort, and became an alcoholic. He isolated himself and hid away for long periods. He later said: Alcohol is a friend, but a friend who means you harm.

Villeret's love of his profession helped to bring his career back from the brink. In an interview in 2001 he spoke of his admiration for performers like Johnny Hallyday and Jacques Brel for their level of commitment, and quoted the author Louis-Ferdinand Céline: When I write, I put my balls on the table.

In 1979 Villeret married Irina Tarassov, an actress and writer. They separated in 1998. Tassarov wrote about their life together in her book Un jour, tout ira bien. (One day, everything will go well).

In 2002 Villeret met Seny, a Senegalese-French widow descended through her grandfather, Mor Diarra N'Dao, from a long line of Sérès nobles of the ancient Kingdom of Saloum, and they fell instantly and deeply in love. They were partners for three years, and she was about to move to Paris to be with him when he died in Évreux in January 2005 of a liver haemorrhage. Seny wrote a memoir of their life together, Jacques Villeret, mon bébé blanc, which was published in Paris by Le Cherche Midi in 2005.

Source: Article "Jacques Villeret" from Wikipedia in English, licensed under CC-BY-SA 3.0.

Jacques Villeret, né Jacky Boufroura le 6 février 1951 à Tours (Indre-et-Loire) et mort le 28 janvier 2005 à Évreux (Eure), est un acteur français.

Son père est algérien d'origine kabyle installé en France, Ahmed Boufroura, et sa mère française, Annette Bonin († 2013) tenait un salon de coiffure. Ses parents divorcent alors qu'il est âgé de neuf mois. Il est élevé par le nouveau mari de sa mère, Raymond Villeret, dont le nom de famille devient son nom d'usage. Vers l'âge de sept ans, ses parents lui expliquent que Raymond n'est pas son père biologique. Il a une demi-sœur, Ghislaine. Ce n'est qu'à l'âge de quarante ans qu'il fera changer son état civil pour s'appeler officiellement Villeret.

Interprétant souvent des personnages au caractère gentil et attachant, il est notamment connu du grand public français pour son rôle de l'extraterrestre La Denrée dans La Soupe aux choux (1981), du maréchal Ludwig von Apfelstrudel dans Papy fait de la résistance (1983), ou encore de François Pignon dans Le Dîner de cons (1998).

À l'école, il aime imiter ses professeurs et jouer au football, sport qu'il pratique avec talent et dextérité selon ses anciens camarades. Durant son passage chez les éclaireurs, il a l'occasion de découvrir le théâtre. La première pièce qu'il joue est une comédie de Roger Ferdinand, créée en 1943, les J3 ou la nouvelle école, où il tient le rôle de Barbarin. Il effectue sa première représentation le 22 février 1966 au Palace-Cinéma, dans sa ville, à Loches. Au lycée, il décroche une bourse de voyage Zellidja qui lui permet de partir à l'étranger pendant plus d'un mois.

Par la suite, il suit une formation théâtrale au conservatoire de Tours puis au Conservatoire de Paris, promotion 1973, où il a pour professeur Louis Seigner, avant de faire ses débuts sur scène avec la compagnie Marcelle Tassencourt.

Au cinéma, c'est le réalisateur Yves Boisset qui, sur les conseils de Jacques Weber, lui confie son premier rôle en 1973: celui d'un soldat durant la guerre d'Algérie dans R.A.S. Il tourne à nouveau sous la direction de Boisset l'année suivante dans Dupont Lajoie.

Dans les années 1970, il incarne des personnages de Français moyen, rondouillard assez naïf, le plus souvent souffre-douleur. Il tourne sous la direction de Jean-Claude Brialy (Un amour de pluie), Élie Chouraqui (Mon premier amour) et Jacques Rozier (Les Naufragés de l'île de la Tortue). Dans ce dernier film, il incarne le frère du personnage joué par Maurice Risch, acteur qui lui ressemblait alors beaucoup. ...

Source: Article "Jacques Villeret" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.

Jacques Villeret, né Jacky Boufroura le 6 février 1951 à Tours (Indre-et-Loire) et mort le 28 janvier 2005 à Évreux (Eure), est un acteur français.

Interprétant souvent des personnages au caractère gentil et attachant, il est notamment connu du grand public français pour son rôle de l'extraterrestre La Denrée dans La Soupe aux choux (1981), du maréchal Ludwig von Apfelstrudel dans Papy fait de la résistance (1983), ou encore de François Pignon dans Le Dîner de cons (1998).

Jacky Boufroura naît à Tours le 6 février 1951, d'un père algérien d'origine kabyle installé en France, Ahmed Boufroura, et d'une mère française, Annette Bonin († 2013), qui tenait un salon de coiffure. Ses parents divorcent alors qu'il est âgé de neuf mois. Il est élevé par le nouveau mari de sa mère, Raymond Villeret, dont le nom de famille devient son nom d'usage. Vers l'âge de sept ans, ses parents lui expliquent que Raymond n'est pas son père biologique. Il a une demi-sœur, Ghislaine. Ce n'est qu'à l'âge de quarante ans qu'il fera changer son état civil pour s'appeler officiellement Villeret.

À l'école, il aime imiter ses professeurs et jouer au football, sport qu'il pratique avec talent et dextérité selon ses anciens camarades. Durant son passage chez les éclaireurs, il a l'occasion de découvrir le théâtre. La première pièce qu'il joue est une comédie de Roger Ferdinand, créée en 1943, les J3 ou la nouvelle école, où il tient le rôle de Barbarin. Il effectue sa première représentation le 22 février 1966 au Palace-Cinéma, dans sa ville, à Loches. Au lycée, il décroche une bourse de voyage Zellidja qui lui permet de partir à l'étranger pendant plus d'un mois.

Par la suite, il suit une formation théâtrale au conservatoire de Tours puis au Conservatoire de Paris, promotion 1973, où il a pour professeur Louis Seigner, avant de faire ses débuts sur scène avec la compagnie Marcelle Tassencourt.

Au cinéma, c'est le réalisateur Yves Boisset qui, sur les conseils de Jacques Weber, lui confie son premier rôle en 1973: celui d'un soldat durant la guerre d'Algérie dans R.A.S. Il tourne à nouveau sous la direction de Boisset l'année suivante dans Dupont Lajoie.

Dans les années 1970, il incarne des personnages de Français moyen, rondouillard assez naïf, le plus souvent souffre-douleur. Il tourne sous la direction de Jean-Claude Brialy (Un amour de pluie), Élie Chouraqui (Mon premier amour) et Jacques Rozier (Les Naufragés de l'île de la Tortue). Dans ce dernier film, il incarne le frère du personnage joué par Maurice Risch, acteur qui lui ressemblait alors beaucoup. ...

Source: Article "Jacques Villeret" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.