Missgünstige Nachbarn schicken der Familie Larkin eine hartnäckige Steuerfahndung auf den Hals, doch Tochter Mariette schafft es, den korrekten Beamten den Schneid abzukaufen.

Un inspector de Hacienda, que visita una granja para exigir el pago de los impuestos pendientes, no podía imaginarse que el dueño tuviera una hija tan atractiva.

Tax collector Lorenzo Charlton comes to the Larkins' farm to ask why Pop Larkins hasn't paid his back taxes. Charlton has to stay for a day to try to estimate the income from the farm, but it isn't easy to calculate when the farmer has such a lovely daughter.

In una fattoria americana vive un uomo felice con la propria grande famiglia. Un vicino possidente cerca di rovinarlo, avendo saputo della sua insolvenza col fisco. Da vecchie carte in solaio tuttavia risulta che il proprietario è creditore, e non debitore, verso il ministero del Tesoro. Tutto si risolve e c'è anche un fidanzamento.

Lorenzo Charlton, um fiscal do governo, é enviado à fazenda da família Larkins para averiguar o porquê eles têm sonegado impostos. Ao perceber que a família mantém um confuso sistema econômico, ele decide ajudá-los a pôr a casa em ordem.

Dans le Maryland, un vieux grincheux dénonce au fisc son voisin, le fermier Pop Larkin, qui vit dans son ranch avec son excentrique famille sans déclarer ses revenus. L’administration envoie aussitôt sur place son agent, Lorenzo Charlton, pour effectuer un contrôle fiscal. Mais le fonctionnaire est vite séduit par le style de vie décontracté des Larkin, et plus particulièrement par la fille aînée, la jolie Mariette. Alors que le Ministère des Finances décide d’infliger une amende de 50 000 dollars au mauvais contribuable, Lorenzo découvre un vieil acte de réquisition de chevaux qui date de la guerre de Sécession. Or, l’Armée américaine s’engageait à verser à la famille Larkin 1 500 dollars avec intérêts pour les chevaux qu’ils avaient fournis. Le Gouvernement ne s’étant jamais acquitté de cette dette, il se pourrait bien que ce soit l’État qui doive finalement de l’argent aux Larkin…