Philippe Abrams est directeur de la poste de Salon‐de‐Provence. Il est marié à Julie, dont le caractère dépressif lui rend la vie impossible. Pour lui faire plaisir, Philippe fraude afin d’obtenir une mutation sur la Côte d’Azur. Mais il est démasqué: il sera muté à Bergues, petite ville du Nord. Pour les Abrams, sudistes pleins de préjugés, le Nord c’est l’horreur, une région glacée, peuplée d’êtres rustres, éructant un langage incompréhensible, le «cheutimi». Philippe ira seul. À sa grande surprise, il découvre un endroit charmant, une équipe chaleureuse, des gens accueillants, et se fait un ami: Antoine, le facteur et le carillonneur du village, à la mère possessive et aux amours contrariées. Quand Philippe revient à Salon, Julie refuse de croire qu’il se plait dans le Nord. Elle pense même qu’il lui ment pour la ménager. Pour la satisfaire et se simplifier la vie, Philippe lui fait croire qu’en effet, il vit un enfer à Bergues.
Alberto, directeur d'une agence de la Poste dans une petite commune de la province de Brianza en Lombardie, est prêt à tout, sous la pression de sa femme Silvia, pour obtenir une mutation à Milan. Même à faire semblant d'être handicapé pour passer devant tout le monde. Mais le subterfuge ne fonctionne pas, et pour le punir on le mute dans un petit village de Campanie, dans la région de Naples, ce qui pour un habitant du nord de l'Italie est un vrai cauchemar.
Lucie Hill, femme d’affaires ambitieuse qui travaille pour une multinationale basée à Miami, aime le shopping et les belles chaussures. Lorsqu'elle se voit confier une mission temporaire au milieu de nul le part pour restructurer une usine, elle saute sur l'occasion, espérant une grosse promotion. Mais, à peine arrivée dans cette petite ville du Minnesota, elle se met à dos l’ensemble des employés et tout particulièrement le séduisant Ted. Ce jeune veuf qui bientôt la sauve d’un mauvais pas, réussira à la convaincre de s’ouvrir aux gens du coin. Bientôt, le regard qu'elle pose sur eux devient si bienveillant qu'elle tente de faire avorter sa mission première. Mais son employeur a déjà décidé de fermer l'usine.
Gerardo est marié et vit bourgeoisement. Un homme sonne à la porte de l'appartement pour tenter une escroquerie, mais Gerardo connait les ficelles du métier. Après l'avoir démasqué il raconte son parcours à l'inconnu : comment d'acteur il devint un escroc fameux, montant des coups de plus en plus audacieux...
Armé seulement d'une collection de téléphones portables et d'un talent unique, un hacker orchestre un braquage de banque élaboré dans un bâtiment abandonné. Mais quand les choses deviennent incontrôlables, elle a son intelligence pour tout tenir ensemble...
Alex Norton discovers how showbusiness has handled the portrayal of the Scottish accent. For over 100 years audiences have struggled to understand our braw brogue: silent Harry Lauder films attempted an accent in the captions, and in Hollywood's golden era , everyone wanted to paint their tonsils tartan- but as examples from Katharine Hepburn, Orson Welles and Richard Chamberlain show, they couldnae. Then Disney made Brave and proved that it disnae have to be all bad!
Director John Scott crafts this look at the curious life of his longtime friend John Stiles — an aspiring writer and former telephone marketer whose midlife meltdown worked wonders for his career. Stiles was down on his luck working as a telemarketer in Toronto when, one day, he threw out his pre-written script and began speaking to customers in curious character voices inspired by his upbringing in Nova Scotia. That month, Stiles made the most sales of any employee and earned a free DVD player for his efforts. In the following years, Stiles threw caution to the wind, venturing out to local open mic nights — where he developed a substantial cult following — and later publishing a pair of books with Insomniac press.