Durant la guerre de Sécession, le lieutenant John Dunbar, envoyé à un poste de reconnaissance dans les plaines du Dakota, rencontre le peuple sioux. Il se lie d'amitié avec la population indienne, au point d'intégrer une tribu et de s'éprendre de l'une des leurs.
1863. La guerre de Sécession ravage l'Amérique et tourne à l'avantage du Sud. Lincoln proclame l'émancipation officielle des noirs et décide que les volontaires noirs pourront s'engager sous les ordres d'officiers blancs. Un régiment de volontaires noirs est alors créé et le jeune Robert Gould Shaw est nommé colonel de ces soldats méprisés. Les volontaires sont nombreux et parmi eux Searles, un ami de Shaw, et Trip, une tête brûlée qui refuse l'autorité. En s'engageant, ces hommes veulent enfin conquérir une dignité qu'ils n'ont jamais connue. Aidé par Forbes, un de ses camarades nommé commandant, Shaw commence à former ses recrues pour le combat.
Dans une Amérique déchirée par la guerre de Sécession, un homme et une femme vont accomplir l'un vers l'autre le plus extraordinaire des voyages. Fille de pasteur, Ada a consacré toute sa jeunesse à la musique, aux arts et au bien-être d'un père veuf, qu'elle aime plus que tout au monde. Simple ouvrier, Inman est un homme farouche, avare de paroles, étranger à la société policée, pétrie de culture et traditions sudistes, dont s'entoure Ada.
En 1863, les forces sudistes et nordistes vont s'affronter à Gettysburg lors d'une bataille décisive de la Guerre de Secession.
Au XIXe siècle, l'ouest des États-Unis connaît une expansion économique et démographique sans précédent. Trois personnes aux destinées radicalement différentes assistent à ce bouleversement : le sénateur Henry Dawes, chargé des affaires indiennes par le gouvernement, le chef Sioux Sitting Bull, farouchement opposé à la politique fédérale des États-Unis, et Charles Eastman, un jeune sioux devenu médecin et symbole de l'assimilation réussie.
This follow-up to "The Bastard" and "The Rebels" continues the account of Philip Kent's life and career from his emigration to colonial Massachusetts through the American Revolutionary War and concludes the family saga with the story of his two sons and their children as they arrive in the unexplored Northwest Territory. (Episodes 5 and 6 of the Kent Chronicles miniseries.)
The wild and woolly early days of New York -- when it was still known as New Amsterdam -- provide the backdrop for this period musical-comedy. In 1650, Peter Stuyvesant (Charles Coburn) arrives in New Amsterdam to assume his duties as governor. Stuyvesant is hardly the fun-loving type, and one of his first official acts is to call for the death of Brom Broeck (Nelson Eddy), a newspaper publisher well-known for his fearless exposes of police and government corruption. However, Broeck hasn't done anything that would justify the death penalty, so Stuyvesant waits (without much patience) for Broeck to step out of line. Broeck is romancing a beautiful woman named Tina Tienhoven (Constance Dowling), whose sister Ulda (Shelley Winters) happens to be dating his best friend, Ten Pin (Johnnie "Scat" Davis). After Stuyvesant's men toss Broeck in jail on a trumped-up charge, Stuyvesant sets his sights on winning Tina's affections.
A young white man who spent his whole life raised by a Native American tribe is sent to live with his true family and must learn to fit in with the people he was taught to hate.
On March 25, 1911, a catastrophic fire broke out at the Triangle Waist Company in New York City. Trapped inside the upper floors of a ten-story building, 146 workers - mostly young immigrant women and teenage girls - were burned alive or forced to jump to their deaths to escape an inferno that consumed the factory in just 18 minutes. It was the worst disaster at a workplace in New York State until 9/11. The tragedy changed the course of history, paving the way for government to represent working people, not just business, for the first time, and helped an emerging American middle class to live the American Dream.