Jeff Lebowski, prénommé le Duc, est un paresseux qui passe son temps à boire des coups avec son copain Walter et à jouer au bowling, jeu dont il est fanatique. Un jour deux malfrats le passent à tabac. Il semblerait qu’un certain Jackie Treehorn veuille récupérer une somme d’argent que lui doit la femme de Jeff. Seulement Lebowski n’est pas marié. C’est une méprise, le Lebowski recherché est un millionnaire de Pasadena. Le Duc part alors en quête d’un dédommagement auprès de son richissime homonyme…

Jack, 5 ans, vit seul avec sa mère, Ma. Elle lui apprend à jouer, à rire et à comprendre le monde qui l’entoure. Un monde qui commence et s’arrête aux murs de leur chambre, où ils sont retenus prisonniers, le seul endroit que Jack ait jamais connu. L’amour de Ma pour Jack la pousse à tout risquer pour offrir à son fils une chance de s’échapper et de découvrir l’extérieur, une aventure à laquelle il n’était pas préparé.

The selfishness of the bourgeoisie and the dull passivity of its servants are the theme of this puppet animation presenting the tragicomedy of a society in its death throes, taking refuge in absurd behaviour.

In this guided tour of a unique Persian carpet, a close-up of the delicate "spine" of a tree branches out into the discovery of a fantastical world.

In a hotel hallway, the camera plunges into the microcosm of the hotel corridor carpet. Between crystal structures and inhabitants of this world, we see an American house dust mite at work.

The movements across the 2-dimensional space, and in and out of elevators through 3-dimensional space, suggest a conceptual map of the visible environment, which is perhaps drawn by the camera itself.