Trois vieux ermites vivent reclus dans le bois. Alors que des incendies de forêt menacent la région, leur quotidien sera bousculé par la mort de leur doyen, Boychuck, et l’arrivée d’une octogénaire qui a été injustement internée toute sa vie.
À 35 ans, Max est prisonnier de son passé. Depuis le décès de ses parents sept ans plus tôt, il oscille entre le salon de son petit appartement, dans lequel il regarde tous les matchs du Canadien avec sa blonde Julie et ses amis de toujours, et la boutique de cartes de hockey dont il a héritée et qu’il gère sans enthousiasme. Mais quand Julie le quitte soudainement, Max est forcé de réévaluer sa vie. S’amorce alors un long cheminement parsemé d’embuches et de mauvaises décisions, au bout duquel Max devra faire le deuil de son père, cesser de regarder vers l’arrière, et commencer enfin à regarder vers l’avant.
Hôtel La Louisiane is, at its core, a film about freedom and dignity. Freedom for those who wish to live in a place where they are able to feel inspired. Dignity for the hotel owner to stand by his promise to his father and keep their mission alive: to provide an affordable sanctuary for artists and students in search of fulfilling employment, which they certainly won’t find at other hotels. Freedom, too, to be in an environment of tolerance and rid of prejudice. This film is not just a story about a mythical setting in Paris; it portrays the microcosm of a lifestyle in which collective values reign supreme. A film where what’s real and true is placed above national borders or cultural barriers.