Alyson, étudiante en médecine, découvre son lieu de travail, un hôpital public de périphérie, en compagnie des deux autres internes affectés au service, Hugo et Chloé. Tous les titulaires sont confinés chez eux à la suite de mesures sanitaires. En leur absence, ils doivent s'occuper seuls des malades...

La mise à l'écart des médecins a été prolongée jusqu'à nouvel ordre, un agent pathogène non identifié ayant été détecté au cours de l'autopsie du patient décédé. Arben Bascha est aussitôt détaché de son service pour rejoindre les maigres effectifs de médecine interne, gagnés par la fatigue et la panique...

Wagner décide de transférer quatre de ses patients admis dans le service de réanimation dans le secteur 1 de la médecine interne. Chloé et le docteur Bascha, qui tentaient justement de réduire le nombre de patients dans ce service, sont furieux. Hugo brigue le poste d'économe de l'internat...

Toujours retenu en quarantaine, le docteur Simoni reproche vertement à Chloé d'avoir accepté de traiter les patients de Wagner. Débordée, celle-ci ne ménage pas sa peine malgré sa récente opération du coeur. Son surmenage pourrait mettre sa vie en danger...

L'équipe est sous le choc après la mort de la jeune Marion. La directrice va devoir répondre aux questions de la hiérarchie comme des parents, qui réclament une autopsie. Deux médecins sont arrivés pour renforcer l'équipe. Chloé exerce toujours, en dépit de l'arrêt maladie prescrit par son cardiologue...

Chloé, éprouvée physiquement, ne parvient pas à dire la vérité à Wagner sur sa situation. Il ne reste qu'un médecin pour soutenir l'équipe. Arben est à nouveau réquisitionné. L'autopsie de Marion suscite des inquiétudes. Hugo prend en charge une femme victime d'un accident, que seule la musique apaise...

Le professeur Wagner prend en charge Chloé, victime d'un malaise. Alyson et Hugo font plusieurs découvertes importantes à son domicile tandis qu'Arben culpabilise de n'avoir rien vu. Choquée, Alyson s'interroge sur ses qualités de médecin. En néonat, Hugo s'inquiète du sort du prématuré, né d'un déni de grossesse.