David Locke est un reporter américain basé en Afrique. Un jour où il se rend à son hôtel, il découvre le corps sans vie d'un homme lui ressemblant étrangement dans la chambre voisine. Il décide de lui prendre son identité et de vivre une nouvelle vie qu'il espère plus passionnante, ce qui l'amènera à rencontrer une mystérieuse femme qui semble aussi perdue que lui. Ce qu'il ne sait pas, c'est que le cadavre dont il a pris l'identité était un espion au service d'un groupe terroriste…
Le Tchad de nos jours. Adam, la soixantaine, ancien champion de natation est maitre nageur de la piscine d'un hôtel de luxe à N'Djamena. Lors du rachat de l'hôtel par des repreneurs chinois, il doit laisser la place à son fils Abdel. Il vit très mal cette situation qu'il considère comme une déchéance sociale.Le pays est en proie à la guerre civile et les rebelles armés menacent le pouvoir. Le gouvernement, en réaction, fait appel à la population pour un "effort de guerre" exigeant d'eux argent ou enfant en âge de combattre les assaillants. Adam est ainsi harcelé par son Chef de Quartier pour sa contribution. Mais Adam n'a pas d'argent, il n'a que son fils...
Alors que sa jambe paralysée devrait l'exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son oncle tombe gravement malade. Pour le sauver, il décide de travailler pour des trafiquants d'essence…
En juin 1976, un an après le tournage de Tchad 2, Depardon filme un second entretien où Françoise Claustre réagit différemment face à la caméra, mettant plus en scène son propre drame. Elle a été libérée après 30 mois de détention en 1977.
La deuxième partie de Tchad comporte notamment un entretien de Françoise Claustre, otage française des Toubous et évoque la vie des combattants rebelles sous la direction de Hissène Habré. Le premier entretien avec Françoise Claustre, fruit d'une longue attente, a été réalisé en août 1975 et donne au film une séquence d'une intensité dramatique exceptionnelle.
Plus de quarante mille réfugiés du Darfour, soumis à des viols, des pillages et des meurtres par les milices progouvernementales de leur pays, ont franchi la frontière pour se retrouver dans le camp de Breidjing, à l'est du Soudan, devenu au fil des ans une véritable ville.
En 2013, l'arrestation de l'ancien dictateur tchadien Hissein Habré au Sénégal marquait la fin d'un long combat pour les rescapés de son régime. Accompagné du Président de l'Association des Victimes du Régime d'Hissein Habré, Mahamat Saleh Haroun part à la rencontre de ceux qui ont survécu à cette tragédie et qui portent encore les cicatrices de l'horreur dans leur chair et dans leur âme.
Kellou, in her forties, lives in Bol, the capital of Sahel’s province. She’s a fisher, profession transmitted from mother to daughter. She learned it from her mother. But since a few years, Lake Tchad has been shrinking, and fish has become rare. Kellou’s job is threatened. One day, after an un- successful catch, her 12 year old daughter Mouna gives her an idea: pick up plastic bags invading the lake and make ropes out of it to sell them on the market. By this simple gesture, Kellou gets to, in her own way, fight against plastic pollution and adapt to the new conditions brought about by climate change.