Antoinette (Anne-Marie Carrière) qui veut épouser Jules (Jean Clarieux) apprend à l'état civil qu'elle est déjà mariée avec un baron de Mont-Vermeil (Claude Nicot). Elle se souvient que dix ans plus tôt on lui vola son sac à main et ses papiers et que la voleuse a épousé, sous son identité, le baron. Elle se présente au manoir de son "époux légal" pour lui dévoiler la vérité et réclamer le divorce. Mais non sans difficultés, la tante du baron (Denise Grey) est une comtesse très conservatrice. Mais pas scandale possible, le cardinal de Trémone (Jacques Morel) arrive pour un séjour au château. Pour sauver les apparences devant le cardinal, Antoinette tiendra le rôle de celle qui a épousé le baron. Jules sera son frère. Son éminence, constatant que le baron est prêt à divorcer pour convoler avec Gisèle (Anne Sitel), la dame de compagnie de la comtesse, se met en tête de sauver le mariage du baron et d'Antoinette...

Enregistrée le samedi 11 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

En 1966, un hôtel particulier de Neuilly. Françoise Marinier (Gaëlle Romande), fille d'un conseiller à la cour (Fernand Ledoux) a fui Nancy, sa ville natale la veille de son mariage, afin de refuser d'épouser un riche fiancé qu'elle n'aimait pas. Elle est partie à Paris avec l'espoir d'y embrasser des lendemains meilleurs. Un an plus tard, à Paris, elle est secrétaire d'une comédienne vedette, Edith Mars (Lydie Dubourg). Les parents ont fini par découvrir le lieu de sa retraite, et débarquent pour solliciter sa présence à une festivité familliale qui se tiendra à Nancy. Ils ne demandent que 48 heures de sa présence. Une méprise fait, alors, qu'ils sont persuadés que leur fille est à Neuilly chez ellen qu'elle a une fort belle réussite sociale mais qui a été rémunérée de par une liaison avec un ministre du gouvernement...

Enregistrée le samedi 4 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Sous le règne de Louis XIV, un bon bourgeois que les hasards de la politique placent en face de problèmes et de responsabilités, le forcent à prendre des position qui le font sortir de son confort intellectuel. C'est une comédie sur l'intolérance.

Enregistrée le mardi 31 mai 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

La goélette"Virginie" file bon train sur l'Atlantique. A bord, Olivier et Pierre vivent des jours paisibles. Mais au large du Brésil, un canot pneumatique coupe leur route ; il porte des rescapés d'un avion en détresse : Betty, américaine richissime et Brigitte, petite Marchande d'amour. Cette confrontation donne des résultats quelque peu "explosifs".

Enregistrée le jeudi 2 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Pendant leurs derniers jour de vacances, de jeunes cousins se retrouvent isolés dans une villa du Poitou. Francine invente le personnage d'un aviateur follement amoureux d'elle. Or, le personnage imaginé par Francine arrive réel et bien vivant. Dès ce moment, les intrigues amoureuses s'entrecroisent dans un mélange de poésie et de réalisme.

Enregistrée le jeudi 9 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Trois jeunes gens, trois garçons et leur sœur, mettent tout en oeuvre pour retenir au foyer conjugal leur père que tente le démon de midi.

Enregistrée le samedi 28 mai 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Excédée se subvenir aux besoins de Blaise, jeune peintre méconnu et désargenté, sa maîtresse souhaite lui faire épouser une jeune héritière. Ce plan sera contrecarré par l'intrusion d'un grand nombre de personnages aussi farfelus les uns que les autres.

Enregistrée le jeudi 23 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Trois bagnards au cœur tendre, et leur petit compagnon : un serpent nommé "Adolphe", résolvent radicalement les problèmes posés à un brave commerçant, par l'irruption intempestive de deux parents éminemment antipathiques. En même temps, ils aident la filLe du commerçant à surmonter un chagrin d'amour.

Enregistrée le samedi 25 juin 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Henri, un écrivain sans succès, aime Solange sa maîtresse, une femme volcanique qui le méprise un peu de n'avoir pas réussi. La vie médiocre de ce couple est bouleversée par une nouvelle bonne, Chéris Hoaona, étudiante venue de l'île Balika, dans l'océan Indien, pour étudier le comportement de la race Blanche. Elle apprend à Henri la sagesse, et que le rire, le rêve, la poésie dont choses importantes dans la vie.

Enregistrée le samedi 15 octobre 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Les Lemerlet sont Marchands d'objets de piété, un père, une mère et une tante, ainsi qu'un oncle sculpteur, sont entrain de faire leur inventaire de fin d'année. Toupleine fait alors son entrée ; cet excellent oncle, qui s'occupe sérieusement de son neveu vient louer, pour lui, une chambre chez les Lemerlet. Il s'agit, en réalité, de deux imposteurs venus dans des intentions bien peu louables.

Enregistrée le samedi 2 octobre 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

Les portes claquent et les mots fusent dans cette famille bourgeoise ! Le père (Christian Gérard) reproche à sa femme (Yvonne Clech) ses jérémiades, la mère se plaint d’être éloignée de ses enfants, le fils, François (Michel Gonzalès) hurle à sa sœur Dominique (Nathalie Valier) d’aller s’épiler le nombril, la seconde fille, Danièle (Corine Le Poulain) braille sur la bonne, Marlette (Rosine Favey) qui nourrit sa tortue de spaghettis et la grand-mère (Hélène Dieudonné) reçoit la nuit un homme dans sa chambre. Le conflit de générations en mode humour ! Dès le générique, l'agitation s'installe...

Enregistrée le samedi 12 novembre 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.

De nos jours, dans les coulisses d'un théâtre parisien, un célèbre auteur dramatique est furieux ; il vient d'apprendre que la comédienne qui devait tenir le rôle principal de sa pièce attend un enfant. De plus, aucune grande actrice n'est libre pour pour reprendre ce rôle. Sauf... la célèbre comédienne Gabrielle Tristan avec qui il est fâché à mort ; ils ont été mariés pendant dix ans, ils ont divorcé avec fracas et depuis ils ne s'adressent plus la parole. Quoi qu'il en soit, l'amour du théâtre sera plus fort que toutes leurs rancunes et Gabrielle jouera la pièce de son ex mari.

Enregistrée le samedi 3 décembre 1966 au Théâtre Marigny, à Paris.