Au fur et à mesure que notre duo avance dans ce monde inconnu, il s’avère de plus en plus nettement que le pouvoir de Hinata peut être sacrément gênant, surtout en ville. C’est alors que les deux amis tombent sur une superbe épée, une vraie épée de fantasy, qui fait bien envie à Hinata…

Bien que n’ayant rien à se reprocher, voici nos deux amis plus ou moins forcés d’aller casser du voleur de grand chemin pour le compte de Lucius, en compagnie de l’épéiste au nom imprononçable. Comble de bonheur, le malfrat en question est une armure magique qui semble animée d’une volonté propre.

Toujours aussi violemment à l’ouest, Schwartzy a appelé par hasard la déesse de la nuit. Entre deux bâillements, celle-ci confirme le statut de héros de son protégé et révèle celui de Hinata, ce qui vaudra au premier de plates excuses et au deuxième, une nouvelle déclaration enflammée à défaut d’être romantique.

Achibana ne s’attendait sans doute pas à se retrouver embrigadé dans une insurrection, ni à devoir porter une tenue aussi révélatrice. De son côté, le héros appelé en renfort par le roi arrive au palais, escorté de sa supérieure hiérarchique et armé de son épée au pouvoir… intéressant.

Manipulée par son énigmatique femme de chambre, la princesse Yuglaine réveille une antique arme de défense nationale, dont l’apparence va rappeler de doux souvenirs à Tsukasa. Toutefois, ce dernier cesse vite de s’en moquer lorsqu’il comprend qui se trouve coincé à l’intérieur.

Etat de stress maximal pour Jingûji et Schwartz, face aux attaques du robot-lapin déchaîné contrôlé par un Tachibana amer et désespéré. Le pouvoir de l’amitié sera-t-il assez fort pour lui faire entendre raison, et surtout, Jingûji arrivera-t-il à exprimer ce qu’il ressent vraiment ?