Katia Deschênes ca Self
Episoade 3
Travail d'équipe
La lieutenante-détective Marie-Manon Savard dirige l'Unité de l'exploitation sexuelle des mineurs pour une perquisition en matière de pornographie juvénile. Sur les lieux de la perquisition, Yannick Simard, technicien à l'Unité de l'identité judiciaire, doit documenter la scène pour les enquêteurs. Guillaume Collin, constable affecté à la patrouille, a l'impression de vivre un mariage professionnel avec sa collègue Katia Deschênes. Le duo de patrouilleurs est d'abord appelé à intervenir auprès d'une dame présentant des problèmes de santé mentale. En fin de journée, les patrouilleurs sont appelés en renfort pour aider à créer un périmètre de sécurité autour d'une maison où se trouve un individu armé.
Citiți mai multeFacteur temps
La lieutenante-détective Marie-Manon Savard mène de front deux interventions qui requièrent que l'Unité d'exploitation sexuelle des mineurs agisse rapidement. Au Centre d'appels d'urgence 911, les préposés à la répartition jonglent constamment avec le facteur temps. En prenant les appels, ils doivent rapidement juger de l'urgence d'une situation, afin de déployer adéquatement les bonnes ressources. Le défi est de taille quand la personne qui appelle est dans l'urgence et le stress. À la patrouille, le temps entre toujours en ligne de compte dans les décision que prennent les agents Pierre-Olivier Grenier et Katia Deschênes lors de leurs interventions. Dans certains cas, ils n'ont qu'une fraction de seconde pour prendre une décision. C'est le cas lorsqu'ils doivent neutraliser un suspect ou le menotter.
Citiți mai multeLes risques du métier
Agente affectée à la patrouille, Katia Deschênes est consciente qu'elle risque sa vie tous les jours au travail. Son coéquipier, l'agent Guillaume Collin, est également très sensible à l'effet psychologique du travail des policiers. Sans manquer d'empathie, ils doivent impérativement faire une coupure entre la détresse qu'ils côtoient quotidiennement et la maison. Comme technicien à l'identité judiciaire, Yannick Simard côtoie l'horreur régulièrement. Pour se protéger, il s'efforce de voir les choses mécaniquement, gardant sa sensibilité pour sa vie personnelle. La lieutenante Julie Marcotte, responsable du volet mental au SPVQ, retourne régulièrement sur le terrain pour prendre le pouls. Les patrouilleurs qu'elle épaule composent quotidiennement avec des personnes suicidaires ou dans un état mental perturbé.
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