Nouvelle série dans laquelle Terry Jones découvre des vérités inédites sur les premières cultures soumises par Rome, en s'appuyant sur des preuves archéologiques qui ont récemment été mises au jour. Le premier programme explore les raisons qui ont poussé Jules César à s'attaquer aux Celtes en 58 av. J.-C., révélant que ses motivations avaient plus à voir avec l'acquisition de richesses qu'avec la protection de l'Empire

Terry Jones enquête sur les affirmations que les premiers Allemands, Daciens et Goths n'étaient rien d'autre que des brutes primitives : une théorie soutenue par leur assiègement impitoyable de Rome en l'an 9. En contradiction, cependant, il apprend qu'ils étaient bien respectés comme combattants exemplaires par leurs homologues romains, et ont joué un rôle majeur dans la défense de l'Empire

En Grèce et en Iran, Terry Jones soutient que loin d'être un foutoir impie de bruisseurs furtifs en jupes minuscules, il semble que les barbares de Grèce et de Perse étaient des cerveaux paisibles dont l'humanité innée les a vu développer ce qui était, par essence, des États-providence.

Vers l'an 400, deux bébés barbares sont nés. L'un d'eux allait devenir le plus féroce de tous, Attila le Hun. L'autre, Geiseric, a dirigé les plus grands destructeurs de l'histoire - les Vandales. Terry Jones découvre que la civilisation romaine n'a pas été entièrement détruite par l'invasion de ces tribus et comment l'Église catholique romaine a survécu pour raconter la version romaine de la vérité.